Parmi eux, Cristina Tapia a défendu sa thèse à l’Université Autonome de Madrid où elle a déjà travaillé sur l’intégration d’enzymes hydrogénases dans divers matériaux d’électrodes à base de semi-conducteurs. Elle a rejoint le groupe SolHyCat dirigé par Vincent Artero au LCBM. Cette équipe développe depuis plus de 15 ans des approches de catalyse bio-inspirée pour élaborer des catalyseurs de production d’hydrogène ainsi que leur intégration dans des systèmes moléculaires de photosynthèse artificielle.
Sa thématique « Hydrogen production photocathode design by combining bioinspired catalysts with Earth-abundant semiconducting materials (Solar-Hybrid) » s’inscrit dans une approche de photosynthèse artificielle, qui consiste à capter l’énergie solaire pour la stocker directement sous forme d’hydrogène.
La sélection de son sujet de post-doctorat, parmi les 15 lauréats retenus pour le programme « Make Our Planet Great Again », atteste de l’excellence des recherche scientifiques et technologiques qu'elle mène.